Je suis devenu poétesse
par des chemins qui blesse
ceux que je détresses
avec toi je m'en délaisse
le feu
l'eau
l'air
moi
toi
que du vrai présent
que l'on devienne corps
ajout de l'unisson totalement
que nos coeurs battent la mort
voir et ressentir notre osmose
que mon corps sois ta prose
que s'y trace le mot aimer
le feu qui trace l'eau té-tubant le long de notre matière, qu'en tremble les mers, qu'en ressente la terre, consumons nous, parfumons l'air, de moi toute à toi.
ça te dit ou pas?
viens entre mes reins...
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